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Section 6 : Détection d’erreurs

La détection d'erreurs concerne la lecture d'un texte afin d'y repérer les problèmes, donc de le réviser avec un oeil plus attentif aux particularités de la langue. Les trucs d'annotation de textes (flèches qui relient le verbe à son pronom, lunettes pour vérifier le pluriel, point d'interrogation au-dessus d'un mot à chercher dans le dictionnaire, etc.), souvent enseignés dès le primaire, sont des exemples de réflexion que la détection suppose.

Pourquoi travailler la détection d'erreurs? Parce que si les erreurs ne sont jamais détectées, elles ne seront jamais corrigées. La qualité d'un texte passe nécessairement par la révision de celui-ci.

CLIQUEZ SUR CHACUNE DES VINGT (20) ERREURS PRÉSENTES DANS LE TEXTE SUIVANT, PUIS CLIQUEZ SUR « VALIDER ».


⇒ Vous n'avez pas à vous soucier de la syntaxe ni de la ponctuation.

1. Un territoire digne de ce nom

Depuis la Nouvelle-France, nos légendes, nos fondateurs et nos paysages ont tous contribué à la toponymie du territoire Québécois, c’est-à-dire qu’ils ont inspirés les noms des lacs, des rivières, des municipalités et des lieux historiques et touristiques qui nous entoure encore aujourd’hui.

Bien que plusieurs de ses toponymes tires leur origine de notre héritage catholique francophone et de nos ancêtres autochtones, certains emplacements ont été nommé en fonction de leur similitude avec une représentation quelconque. Ces noms, dont certains sont particulièrement farfelu, peuvent évoqué des parties du corps humains, des sonorités caractéristiques, des légendes populaires, bref, tous ce qui passaient par la tête des spécialistes en toponymie.

Par exemple, dans la région de Charlevoix, une formation montagneuse bien étonnante, ressemblante à une femme couchée sur le dos, s’est vue donner le nom de La Noyée. Évidemment, les légendes se sont multiplié pour raconter l’histoire, souvent romancée, de ce curieux paysage visité chaque années par de nombreux touristes tout intrigué.

De plus, si vous prenez la route entre Québec et Trois-Rivières, vous croiserez la municipalité de Deschambault-Grondines, appelé ainsi en référence au grondement émit par les cascades bruyantes de la rivière Sainte-Anne.

Demandez à vos amis et collègues d’ou ils viennent et s’ils connaissent l’histoire qui se cachent derrière le toponyme. Vous pourriez être surpris…

2. Nouvel emploi, nouvelle vie

Il n’est pas toujours évident de commencer un emploi dans une nouvelle région. Les opportunitées d’emploi n’étant pas très nombreuses, il faut parfois s’éloigner pour gagner de l’expérience. C’est se qui m’est arriver récemment, alors qu’on m’a proposé un poste toute à fait à mon image… à quelques cinq heures de route!

Un emploi de rêve, des collègues sympas et une paie, avouons-le, très intéressante. Le seul hic : je me retrouves sans famille ni amis, et mes habitudes quotidiennes sont chamboulés. C’était le moment parfait de me forger une carapace et d’acquérir une indépendance qui ne m’avais pas été accordé auparavant.

Les premières semaines se sont écoulé terriblement vite. Je ne les ai mêmes pas vu défiler! Mes nouvelles fonctions m’occupais toute la journée et j’aménageais mon appartement en soirée. Par contre, une fois mon nid douillet installé, j’ai commencé a ressentir la solitude. Heureusement pour moi, les réseaux sociaux me permettaient de communiqué avec ma famille et mes amis, de sortes que lorsque l’ennuie s’emparait de moi, mes proches n’étaient plus qu’à un clic!

Maintenant, quelques mois plus tard, je peux affirmer que j’aime ma vie dans cette nouvelle ville. Je me suis bâtis un bon cercle d’ami, j’occupe un emploi que j’adore et j’ai même rencontrer l’amour!

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